souvenir et bière à la cerise

Il y es des personnes que croise depuis toujours. Je ne sais pas ce que cela peut bien vouloir dire: est ce bon, mauvais... ou le hasard? Je pense personnellement que je hasard est un conscept humain, et, un peut comme une "certaine notion" de l'aléatoir, ça n'existe que virtuellement. Et plus parlant que ça, il y a "qui sont les personnes entre et sorte de ma vie?"

La rencontre la plus étrange... il sagit d'une jeune femme dont je ne connais même pas le nom... a vrais dire on ne se l'es jamais donné; tout a commencé il ya un peut moins de 10 ans, alors que j'étais en internat. Vus que l'ambiance locale étais plutôt... comment dire... à chier, j'avais pris l'habitude de m'éclipser. Le plus souvant, on étais une bande de 4 ou 5 couillons qui partaient dans la forêt pour tassé la journée. A cette époque, cela faisait déjà 4 ans que j'étais dans ce cloaque; c'est a cette époque que mes insomnies sont devenues régulières, et que les endroit de la foret où nous sechions les cours avec les potes, étaient devenus ma "résidence de nuit". Parmi toutes ces nuits, y en es une que je ne suis pas près d'oubliée:

Cette nuit là, comme j'avais remarqué que la lune serais quasiment pleine et qu'une petite clairière étais devenue mon endroit favori du moment, je voulais faire l'experience de dessiné de nuit, en esperant que quand mes yeux se seraient habitués a l'obscurité ajouter au claire de lune, je pourrais capturer une ou deux idées. Il devais être peut être 2 heure du matin quand je me dit que cela faisait un moment que j'avais comment a dessiné, assis dans ma clairière, et que si je coutinué, c'est pas des lunettes mais un chien qu'il me faudras. Je m'allumas une cigarette, puis, en soupirant, m'installa pour regardé la lune, quand j'entendit une voie de fille: "C'est qui?" disait-elle. Comme je ne m'attendais pas a ceux qu'il y est un autre humain je sursautas en manquant de peut de tombé; mon coeur battais a fond et je ne savais quoi pensé. 
"Une fille?" me disais-je "dans un internat de garçon... ya un soucis là!"
C'est là que je l'ai vus pour la première fois: une petite rousse de mon age, en train de piétiner quelque fougère pour ce faire un chemin vers moi sans tombé. Lorsqu'elle me vit, elle ce figea un moment. Elle regarda autour d'elle, pas rassuré, puis me lança: escusez moi... j... je cherche mes amis..."
Elle allas partir en courant, quand je lui quand je tenta de la retenir par un :"c'est cool! ok, ya pas de soucis!
tout en faisant bien attention (autant elle par sécurité que moi pour ne pas la faire fuir) de ne pas s'approche l'un de l'autre, nous nous sommes raconter ce qu'on fouter l'un comme l'autre dans le bois d'un domaine privé... je me rappel avoir essayé de briser la glace avec quelque vanne, ce qui eu le dont de me donné une autre nuance du bide.De file en aiguille, on ce racontas notre vie... d'abord elle me dit qu'elle et ces amis ce donne rdv dans ce bois pour passé la soirée tranquillement, et que ni elle ni les autre ne savais que cela faisait plusieurs années que les "soeurs de l'agneau" avait quitter les lieu et données leurs monastère a OAA (Orphelin Apprentis d'Auteuil", la fondation de l'internat ou j'étais). Au bout d'un moment, le jour ce levas... on est rester cons; cela faisais des heures que l'on parlé de tout et de rien, et on étais toujours a bien 5 ou 6 mètres l'un de l'autre... nous nous sommes quitté sans rien nous dire d'autre que : "a plus!", et alors que je monter réintégré mes quartiers, je m'aperçut que je ne connaissais pas son nom...

depuis ce jour, il ne se passe pas un trimestre sans que l'on ce croise; et là où je me dit qu'on c'est bien trouvé pour vivre cette... relation (?), c'est que par la suite, on n'a fait exprès elle et moi de ne pas dire notre nom. Chaque fois que l'on ce vois (dans une fête, un vernissage, alors que je travail dans la rue, la foire de Marseille...) on prend toujours un moment pour oublié le monde entier et ce raconter ce qui s'est passé dans notre vie depuis la dernière foie, et alors que j'y croie a peine a chaque foie, quand on ce tombe dessus par hasard, je vois toujours son sourire illuminé son visage, et nombreuses son les foie, où, autant elle que moi, nous nous retournons nos amis respectif pour dire la phrase devenus magique depuis toutes ses années:" je te rejoins plus tard, il faut que j'hallucine un quart d'heure!". 

la dernière fois que nous nous sommes vus, a la fin de l'été 2007, elle m'a dit qu'elle étais malade... et ceux depuis longtemps. Elle n'a pas voulus me dire quel mal la rongé, juste: "le plus dure dans tout ça, c'est les autre... toujours a me couver, m'étouffer; ça me fait du bien de te voir de temps en temps. Pendant quelques minutes, je suis pas la même"
Alors que s'est yeux vert sorti de ses cheveu roux pour cherché mon regard, elle repris:" je le savais, j'aurai du fermé ma gueule..." et ne lui laissant pas le temps de finir sa phrase, je la coupa en disant exactement se qui me passa pas la tête:
"Ma chérie, ça vas faire 10 ans qu'on ce connais, et ça me fait un peut chier voir que tu ne différencie pas les expressions de mon regard; ça n'enlève rien au fait, je suis heureux d'être cela pour quelqu'un. Mais si tu crois que cela te donne le droit de rompre tes engagements, tu te fourre un doigt un peut ou tu veut" fini-je en forçant le ton pour paraître volontairement ridicule autant que grossier. Ne comprenant pas, elle cherchai dans mes yeux ou je voulais en venir.
"Tu ma promit verre, non?"
Enfin le sourire que j'avais vus dix ans plutôt revint sur son visage.

J'espère la voir bientôt... et en même temps...


20/11/2007
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