vox populi

Y'a des choses que je ne supporte pas; De nature "grande gueule", je n'est pas pour habitude de faire mon timide quand un truc me fait de l'aire, et comme si ce fait était inscrit dans le ciel, c'est dernier jour on étaient riches en prise de choux:

1) Quand j'ai enmenagé dans mon appartement, l'ancien locataire m'avait filé un gros buffet bien gros et moche. Comme je n'avait pas de meuble ou presque, je l'avait gardé jusqu'au maintenant; bien décidé a faire de la place, je l'ai enfin viré. Pour ce faire, il a fallu que je le démonte, descende les morceau et attende qu'un pote passe en camion pour le mené a mon garde meuble (je sais, l'intro est balaise, mais j'arrive au fait). Donc je galère bien 2h a faire des allé retour entre mon apart' au 2ème étage et le rdc où j'empilai les morceau de ce maudit meuble; au bout du 5ème allé retour, je remarque qu'une silhouette reste immobile a coté de mon tas de planche. Il sagissai d'un homme d'une cinquantaine d'années tenant une laisse au bout de laquelle ce dandinait une monstruosité de la race canine (enfin je croix...). L'homme attend donc que je finisse et m'accoste, donnant la conversation qui suis:

LUI -Il vas les laissé là c'est merdes!

MOI -...? bonjours monsieur... de quoi vous parlé au juste?

LUI -Il faut appelé la mairie pour enlever les "encombrants"; il le fait où j'appelle la police?

MOI -Non mais j'attend un ami qui...

LUI -AAH, mais je veux rien savoir moi (prend un aire supérieur), et faudrait a pas me prendre pour un con petit; allé, dépêche toi d'enlevé tout ça.

MOI - <éclate de rire> Déjà, tu me tutoie pas; ensuite, en parlant d'encombrant là, c'est pas l'heure d'allé maté les "chiffre et lettres"? (et alors que mon regard est attiré par son homard poilu) Je fait encore encore un allé retour; si quand je revient ton... "truc" a posé une pèche sur mon meuble, je m'arrange pour que la prochAINE RADIO DE TON TORSE RESSEMBLE A UN TAS DE BRANCHES DANS UN SECHE LINGE!!!

Alors qu'il me regarde avec des yeux de poulet, je m'attendais a tout, sauf a ce qui suis; il devais sûrement cherché une reparti bien senti quand une rumeur retentti des balcons au dessus de nous: une vingtaine de gens étaient en train d'applaudir... 

Sur le coup, je n'étais pas fière d'être la première pierre d'une lapidation moral collective; mais plusieurs personne du voisinage mon informé ce matin que cet homme et ces amis "bouliste / front nationaliste" menaient la vie dur a plusieurs famille du quartier; a ce qui parait, le fait de lui fermé ça gueule a vif le trottoir lui aurai fait le plus grand bien. cool.


09/01/2008
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